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Tout d’abord, afin de dissiper les représentations représentations erronées véhiculés par la presse, commençons par établir ce que le révisionnisme de l’Holocauste n’affirme pas :
- il ne nie pas que les juifs furent persécutés par le IIIe Reich ;
- il ne nie pas que les juifs furent dépouillés de leur droits civiques ;
- il ne nie pas que les juifs furent déportés ;
- il ne nie pas l’existence de ghettos juifs ;
- il ne nie pas l’existence de camps de concentration ;
- il ne nie pas l’existence de crématoires dans ces camps de concentration ;
- il ne nie pas que des juifs sont morts pour divers raisons ;
- il ne nie pas que d’autres minorités, telles que les gitans, les témoins de Jéhovah, les homosexuels et les dissidents politiques, ont également été persécutées ;
- et pour finir, il ne nie pas que les actes susmentionnés furent injustes.
Aucun des crimes du régime national-socialistes n’est remis en question par les révisionnistes de l’Holocauste. Ce que les révisionnistes affirment cependant, c’est que toutes ces injustices sont sans rapport avec l’Holocauste, c’est-à-dire une extermination planifié, organisé, et réalisé dans des chambres à gaz homicide construites à cet effet.
Les révisionnistes de l’Holocauste pensent :
- qu’il n’exista ni ordre ni plan émanant du régime national-socialiste visant à l’extermination physiquement les juifs ;
- qu’il n’exista ni commission allemande ni budget destiné à la réalisation de cette prétendue extermination, comme l’a affirmé le professeur Raul Hilberg : «Mais ce qui commença en 1941 fut un processus de destruction non planifié à l’avance, non organisé et centralisé par une agence quelconque. Il n’y eut pas de projet et il n’y eut pas de budget pour des mesures de destruction. [Ces mesures] furent prises étape par étape, une étape à chaque fois. C’est ainsi qu’apparut moins un plan mené à bien qu’une incroyable rencontre des esprits, une transmission de pensée consensuelle au sein d’une vaste bureaucratie1» ;
- qu’après examen approfondi des anciens camps de concentrations allemands, les expert n’ont trouvé aucune preuve physique ou documentaire de l’existence des chambres à gaz homicides ou de tout autre méthode de mise à mort en masse, et trop peu de trace matériel des prétendues victimes2. En outre, les rapports concernant les fusillades de masse ont grandement exagérés et employés hors contexte3, tandis que les traitements célèbres “camions à gaz”, soit-disant chambres à gaz mobiles, sont un pur produit de propagande de guerre4;
- que les camps ne disposaient en quantité suffisante ni des crématoires et ni du combustible nécessaire à faire disparaître un nombre colossal de cadavres. En fait les crématoires étaient à peine suffisants pour incinérer les corps de victimes de la famine et des épidémies5 ;
- que les allégations d’extermination s’appuient exclusivement sur des témoignages qui sont aujourd’hui largement reconnus comme peu fiables6 ;
- Que malgré la surveillance opérée par des espions et des groupes de résistants aux abords et à l’intérieur des camps allemands de travail, de concentration et de prétendue extermination, tous les belligérants adversaires de l’Allemagne se comportèrent comme si aucune extermination des juifs n’avait cour. Les accusations de génocide ne furent prisent au sérieux qu’après la défaite allemande, quand le gouvernement allemand n’était plus là pour les contester7 ;
- que les études statistiques sur le nombre de juifs dans le monde montre que les pertes de ce peuple durant la seconde Guerre mondiale sont bien inférieures à six millions. Malgré les tentatives d’établir un chiffre un peu plus exact8, il convient de reconnaitre qu’il n’existe à ce sujet aucune certitude, comme le prouve les comparaisons entre les résultats des historiens accrédités et des révisionnistes9. En fait, le chiffre de six millions, tout comme les accusation d’extermination, a fait les gros titres par la presse juive depuis la fin du XIXe siècle10.
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